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Guerre des Crédits Mutuels : nouvelle déconvenue pour Arkéa

Une agence Crédit Mutuel à Janzé, en Bretagne, en 2016
Une agence Crédit Mutuel à Janzé, en Bretagne, en 2016

Une « décision de caractère général relative au renforcement de la cohésion du Groupe Crédit Mutuel » : tel est l’intitulé du texte adopté, aujourd’hui mardi 2 février, par le conseil d’administration de la Confédération Nationale du Crédit Mutuel (CNCM), organe central du groupe bancaire. Contre l’avis d’une des composantes du groupe, Arkéa, qui a déploré dans un communiqué que la « CNCM soit demeurée indifférente à ses demandes de retrait de cette DCG ».

Pourquoi Arkéa s’est-elle opposée à ce texte ? Tout simplement car la confédération bretonne, qui souhaite depuis des années, et sans succès, quitter la CNCM pour prendre son autonomie, y voit une « atteinte à l’expression de [sa singularité], à la maîtrise de ses choix stratégiques et de sa liberté d’entreprendre », malgré les « ajustements [qui] ont été apportés à son contenu ». Il contraindrait notamment Arkéa à ne plus utiliser cette marque sans lui adjoindre le terme « Crédit Mutuel », comme elle le fait parfois dans le cadre notamment de son sponsoring sportif. Il pourrait aussi obliger la banque bretonne, présente notamment dans l’assurance (Suravenir) et dans la banque en ligne (Fortuneo), à obtenir l’autorisation de l’organe central en cas d’opérations significatives de croissance externe.

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