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Grèce: le casse-tête continue

Grèce: le casse-tête continue

La patience a beau être la mère de toutes les vertus, certains, à Bruxelles, commencent à trouver le temps long. Car les négociations marathon pour éviter à la Grèce un défaut de paiement, qui reprendront ce jeudi à Bruxelles, sont toujours dans l’impasse, même si un accord préliminaire est espéré dans la journée.

D’autant que mercredi soir, le gouvernement de gauche radicale grecque a pour la première fois depuis le début des négociations retiré des propositions qu'il avait présentées à ses créanciers, afin de satisfaire l'opinion publique et son parti. Le tout alors que l'accord, s'il est trouvé, devra obligatoirement être ratifié par le Parlement grec.

Selon des sources gouvernementales grecques, deux propositions ont été retirées de la liste, dont l'augmentation des cotisations sur les retraites jugée impopulaire. La partie grecque cherchait, selon ces sources, à les compenser par d'autres mesures financièrement équivalentes.

Le temps presse: il ne reste plus que cinq jours avant la date-butoir d'un remboursement au FMI qui alimente les craintes de défaut de paiement de la Grèce, aux conséquences imprévisibles. Le déblocage d'une tranche d'un prêt en suspens depuis presque un an (7,2 milliards d'euros) ou à défaut un geste financier de la BCE sera nécessaire pour qu'Athènes honore cette échéance.

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Tsipras s'en prend au FMI

Pour l'obtenir, le gouvernement grec doit se mettre d'accord avec ses créanciers - UE et FMI - sur des réformes et des mesures d'économies budgétaires.

Un des points de blocage vient du fait que la Grèce... Pour lire la suite, cliquez ici.

Par Y.D. avec AFP

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