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Comment le groupe français Partouche veut devenir leader au Japon

Se dégourdir les jambes le matin au milieu des tulipes dans un parc à thème, réplique d'un quartier néerlandais, embarquer pour une excursion sur une mer turquoise l'après-midi et terminer la soirée au casino, c'est la carte postale que souhaite offrir la province de Nagasaki aux touristes locaux et étrangers. Le groupe de casinos français Partouche s'est positionné. Il s'apprête à répondre, au sein d'un consortium, à l'appel d'offres lancé le 7 janvier par la province du sud-ouest du pays. En jeu : la construction, sur 31 hectares, d'un integrated resort comprenant hôtel, centre de congrès et salle de jeu. Une première au Japon.

Une loi promulguée en juillet 2016 par Shinzo Abe, ancien Premier ministre japonais, a rouvert la porte aux casinos, interdits depuis 1907, pour redynamiser le tourisme. Dans un premier temps, trois établissements seulement seront autorisés. Entouré de consultants et d'experts tel l'architecte Paul Steelman, mondialement connu dans l'univers du casino, le consortium espère remporter la mise.

2020 a coupé l'élan du groupe

"C'est une bouffée d'air frais", souffle Fabrice Paire, président du directoire du groupe Partouche. L'année 2020 est venue couper l'élan du numéro deux français en volume d'affaires. Après six années difficiles et une quasi-faillite en 2013, le casinotier a néanmoins terminé son exercice 2019 en hausse de 5,5%, à 430 millions d'euros de chiffre d'affaires, et pu anticiper le remboursement de son plan de sauvegarde. Alors, lorsque le...


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