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Gouvernement. En Roumanie, une cohabitation très étrange

Pour la troisième fois en quelques mois, un nouveau gouvernement s’apprête à prendre ses fonctions à Bucarest. Mais sa composition et son fonctionnement à venir suscitent bien des interrogations dans les médias roumains.

Aujourd’hui, le 1er décembre, la Roumanie célèbre sa fête nationale, qui commémore l’unification des principautés roumaines en un seul État, en 1918. Un anniversaire riche en contradictions dans un pays divisé par les opinions pour et contre son nouveau gouvernement.

Car depuis le 25 novembre, soit un mois et demi après la chute du gouvernement libéral de Florin Citu à l’issue d’une motion de censure, le pays s’est doté d’un nouveau gouvernement et d’un nouveau Premier ministre. “Encore un miracle jailli tout droit du cœur de la vie politique roumaine, écrit ainsi Observator Cultural. L’alternance au pouvoir, un gouvernement obligé de faire la paix avec son peuple, alors que l’hiver et la pandémie sont aux portes tant de la Roumanie que de l’Europe.”

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Ce n’est pas sans raison que le magazine se montre aussi sarcastique. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la Roumanie, le gouvernement innove non seulement par sa composition, mais aussi par sa structure : une alliance de la droite (le Parti national libéral, PNL) avec la gauche (le Parti social-démocrate, PSD) et la minorité hongroise (l’UDMR), avec à sa tête un général de réserve, Nicolae Ciuca. Mais uniquement jusqu’en 2023, parce qu’ensuite le Premier ministre devra être nommé dans les rangs du PSD.

Un autre aspect du nouveau gouvernement a suscité des critiques sans aménité de la part de la presse roumaine,

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