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Le gouvernement envisage de publier le nom des entreprises qui discriminent à l'embauche

Pixabay

Le Gouvernement veut lutter contre les discriminations en tous genres. Systématiser les testings sur les discriminations à l'emploi, "élaborer des outils" avec les plateformes numériques et les influenceurs, rendre possible un "mandat d'arrêt"... autant de mesures qui seront présentées par la Première ministre Elisabeth Borne et la ministre chargée de l'Egalité des chances Isabelle Rome (en présence de dix autres ministres) ce lundi dans le plan 2023-2026. Il prévoit une série de mesures qui touchent différents secteurs, allant de l'éducation à l'emploi en passant par la justice ou le sport.

Parmi les mesures phares, ce plan prévoit de "systématiser les testings sur les discriminations à l'emploi", dans différents secteurs, privés et publics, en concertation avec les organisations syndicales et patronales et les associations notamment. Le testing consiste à envoyer pour la même offre d'emploi deux CV identiques avec comme uniques différences notamment l'origine du candidat. Dans une "logique graduée", si les mauvaises pratiques perdurent, le gouvernement n'exclut pas des sanctions et de recourir à la pratique du "name and shame", publiant les noms des entreprises peu vertueuses.

Elisabeth Borne - dont le père, juif, a été déporté, puis a mis fin à ses jours quand sa fille avait 11 ans - prévoit notamment dans ce plan, "l'organisation d'une visite d'histoire ou de mémoire liée au racisme, l'antisémitisme ou l'antitsiganisme pour chaque élève durant sa scolarité". Un "renforcement" (...)

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