Publicité
La bourse ferme dans 1 h 45 min
  • CAC 40

    8 018,48
    -4,78 (-0,06 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 919,38
    -17,19 (-0,35 %)
     
  • Dow Jones

    37 931,69
    +156,31 (+0,41 %)
     
  • EUR/USD

    1,0675
    +0,0028 (+0,27 %)
     
  • Gold future

    2 400,00
    +2,00 (+0,08 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 781,28
    +2 240,16 (+3,83 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 330,02
    +17,40 (+1,33 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,99
    +0,26 (+0,31 %)
     
  • DAX

    17 725,22
    -112,18 (-0,63 %)
     
  • FTSE 100

    7 833,80
    -43,25 (-0,55 %)
     
  • Nasdaq

    15 557,64
    -43,86 (-0,28 %)
     
  • S&P 500

    5 014,46
    +3,34 (+0,07 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2465
    +0,0026 (+0,21 %)
     

Google contre presse française : qu'appelle-t-on les droits voisins?

Que signifient les droits voisins? La presse française avait applaudi, le 24 juillet 2019, la transposition de la directive européenne sur le droit d'auteur dans la législation française. Avec l'article 15 de cette directive, les géants du numérique et les éditeurs de presse étaient en effet tenus de se mettre autour de la table pour négocier l'utilisation des articles contre rémunération. Ce sont les droits voisins, qui s'apparentent au droit d'auteur sur internet.

Google bloque le début des tables rondes

Mais Google refuse de verser le moindre centime à la presse pour diffuser les documents obtenus sur la page de résultats et menace de n'afficher que le lien, sous sa forme la plus simple. Selon le géant américain, ces extraits permettraient un trafic important et engendreraient ainsi la rémunération des éditeurs. Le géant du numérique demande donc l'utilisation des extraits à titre gratuit et espère ainsi échapper au paiement des droits voisins.

Lire aussi - TRIBUNE. "La loi de Google contre l'Etat de droit"

En novembre 2019, les éditeurs de presse ont saisi l'Autorité de la concurrence pour abus de position dominante. En attendant une décision de fond, l'autorité administrative a obligé Google à entamer des négociations de "bonne foi". Google a aussitôt répliqué et a fait appel, bloquant ainsi le début des tables rondes. Mais mercredi, le géant a dit être proche d'un accord avec l'alliance française de la presse d'information générale (APIG).

Abonnez-vous au JDD ! Lisez le J...


Lire la suite sur LeJDD