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Go Sport : la justice laisse un sursis à Michel Ohayon pour "améliorer la situation"

Wikimedia

L'examen de l'avenir du spécialiste des articles de sport Go Sport et de sa filiale Go Sport France -plan de redressement ou cession à un repreneur- a été renvoyé au 18 avril, a indiqué mercredi 15 mars le tribunal de commerce de Grenoble. La période d'observation pendant laquelle les deux entreprises sont autorisées à poursuivre leur activité est maintenue jusqu'au 19 juillet 2023, indiquent deux jugements rendus mercredi 15 mars, estimant que Go Sport, qui emploie un peu plus de 2.000 salariés, "pourrait être en mesure d'améliorer sa situation".

Le tribunal indique par ailleurs que le parquet de Grenoble a requis une "modification de la mission des administrateurs judiciaires afin qu’ils représentent totalement la société", ainsi que la "nomination d’un expert judiciaire pour expliciter les flux de trésorerie sur les mois qui précèdent l’ouverture de la procédure".

Dans la foulée de la liquidation brutale de l'enseigne de prêt à porter Camaïeu en septembre, les salariés de Go Sport, leurs représentants syndicaux et le comité social et économique central (CSEC) s'étaient inquiétés il y a plusieurs mois déjà de la santé financière de la maison mère HPB (Hermione, People & Brands). Ils s'étaient en particulier alarmés d'une remontée de 36 millions d'euros de trésorerie de Go Sport vers HPB. La requête du parquet, présentée oralement lors d'une audience lundi matin 13 mars, nécessite également un renvoi et sera pour sa part examinée le 29 mars, précise le tribunal.

Le tribunal avait (...)

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