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Go Sport : audience cruciale ce lundi pour l'enseigne

Wikimedia Commons

Quel sera le sort de Go Sport ? Le distributeur d'articles sportifs est-il en cessation de paiement ? Le tribunal de commerce de Grenoble se penche lundi sur le dossier de ce groupe fondé en 1978, qui emploie 2.160 salariés en France. L'audience doit débuter à 09h00 au palais de justice de Grenoble, non loin du siège du groupe, à Sassenage (Isère). Fin décembre, la justice avait entendu une première fois les différentes parties, puis chargé un juge enquêteur de "faire un état précis de la situation financière" du groupe et de sa filiale Go Sport France, avec l'aide de ses cabinets d'audit et de ses commissaires aux comptes. De fait, les points de vue divergent diamétralement entre les représentants des salariés, qui craignent le pire, et la maison-mère Hermione People and Brands (HPB), qui l'avait racheté fin 2021 pour un euro symbolique et s'affiche optimiste.

Les dirigeants de HPB martèlent que Go Sport "n'est pas en état de cessation de paiement" et que sa situation n'a rien à voir avec celle de Camaïeu, liquidé de manière abrupte fin septembre. Après "17 années de pertes", Go Sport devrait renouer avec les bénéfices "dès 2023", assure Wilhelm Hubner, le président de HPB. Le 3 janvier, le groupe a nommé à la tête de l'enseigne un spécialiste en restructuration d'entreprises en difficulté, Patrick Puy, auparavant patron du fleuron déchu du textile Vivarte (Caroll, Minelli, La Halle, Naf Naf, Chevignon...), surnommé le "cost killer de choc" par le quotidien L'Humanité en 2017. (...)

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