Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • Nikkei 225

    37 628,48
    -831,60 (-2,16 %)
     
  • EUR/USD

    1,0733
    +0,0032 (+0,30 %)
     
  • HANG SENG

    17 284,54
    +83,27 (+0,48 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 441,19
    +740,11 (+1,24 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 396,68
    +14,10 (+1,02 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     

Go Fast (TFX) Tournage au coeur d'une cité sensible : "L’idée n’était surtout pas de stigmatiser ses habitants"

C’est l’histoire d’une gageure : pendant douze jours, en juin 2007, l’équipe de tournage de Go Fast (80 techniciens, assistants, cascadeurs, acteurs et producteurs) s’est installée avec son matériel à La Forestière, à Clichy-sous-Bois, à l’est de Paris. Ces barres d’immeubles, érigées dans les années 60, sont alors considérées par les Renseignements Généraux comme les plus sensibles d’Ile-de-France. Lors des émeutes de novembre 2005, elles furent le théâtre d’affrontements d’une violence rare entre les jeunes et la police.

Pourquoi diable la production a-t-elle choisi, malgré les réticences des forces de l’ordre et des assureurs, un endroit aussi problématique ? "Nous tournions un polar sur les trafiquants de drogue s’approvisionnant avec leurs berlines dans certaines cités, et nous tenions, avec le réalisateur, Olivier Van Hoofstadt, à des décors crédibles", explique Emmanuel Prévost, producteur et coscénariste du film. Il tient aussitôt à nuancer : "L’idée n’était surtout pas de stigmatiser cette cité et ses habitants, bien au contraire".

À lire également

Roschdy Zem, 1er Président maghrébin de France dans "Les Sauvages" (Canal+)

PUBLICITÉ

Réaliste, Emmanuel Prévost sait que l’on n’impose pas un tournage dans... Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi