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GENFIT : L'intérêt de grandes maisons d'analystes est bénéfique

GENFIT : Lance un programme pour améliorer la connaissance autour de la NASH

Genfit poursuivait jeudi sa remontée, gagnant plus de 2% (+2,2% à 29,15 euros en milieu d'après-midi), quelques jours après la publication d’une étude résolument positive de la Deutsche Bank.

L’établissement financier conseille en effet l’achat de la société biopharmaceutique avec un objectif de cours ambitieux de 110 euros. Il estime à 60% à ce stade les chances de succès du GFT 505, le médicament expérimental de Genfit pour le traitement de la NASH » (Stéatose hépatique non alcoolique) », une maladie en plein essor, conséquence du diabète et de l’obesité. Alethia Young, l’analyste de Deutsche Bank évalue le potentiel ventes annuelles du produit phare de Genfit à 9 milliards de dollars, soit 7 milliards d’euros, sur un marché total estimé entre 35 et 40 milliards de dollars d’ici 2025.

Après les analyses des bureaux d’étude français de Portzamparc et Oddo Securities, Deutsche Bank a donc placé la barre très haut.

Les niveaux de valorisation donnés sur Genfit par ces différents brokers sont pour le moins « assez intéressants », juge ainsi Jean-Laurent Bruel, président du directoire de Gestys et gérant du seul fonds éligible au PEA et PEA PME, spécialisé sur les biotechs européennes (Gestys Santé Biotech FR0007057625), contacté par Tradingsat.com.

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Mais plus que les objectifs de cours, le gérant préfère souligner le fait que des établissements financiers « généralistes » - ou qui du moins ne sont pas forcément réputés comme des spécialistes des biotechs -, commencent à s’intéresser au secteur.

« Au-delà des valorisations, il faut retenir l’intérêt porté au secteur par ces bureaux d’analyse de grandes maisons. Après l’entrée d’investisseurs américains au capital de biotechs françaises, la couverture de ces valeurs par un certain nombre d’analystes est bénéfique pour faire le relais entre ces investisseurs spécialisés et le fond de marché, le gros des investisseurs », explique Jean-Laurent Bruel.

« Les investisseurs, ...

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