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"Une gauche du travail, et pas des allocs" : bisbilles au sein de la Nupes, Mélenchon recadre Roussel

Vincenzo Nuzzolese/SOPA Images/LightRocket/Getty Images

"Je demande qu'on arrête les jérémiades". De retour à la fête de l'Humanité dans l'Essonne après six ans d'absence, Jean-Luc Mélenchon s'est montré ferme à quelques heures d'un débat réunissant les dirigeants des partis de gauche qui doit aborder l'avenir de la coalition. Aux réserves émises et répétées depuis la présidentielle par l'Insoumis électron libre François Ruffin à l'encontre du chef de LFI, se sont ajoutées les critiques du chef communiste Fabien Roussel vendredi. Alors Jean-Luc Mélenchon a voulu siffler la fin de la récréation, samedi devant les centaines de personnes venues l'écouter à l'Agora, la plus grande scène de débat de la fête, où une journaliste de l'Humanité l'interrogeait . "Je demande qu'on arrête les jérémiades, (...) nous avons avancé et marqué des points", a tonné l'ancien candidat à la présidentielle (22%).

Fabien Roussel a dit vouloir "parler autant aux Français des champs" qu'à ceux des villes, et a prôné "une gauche du travail, et pas des allocs" qui à ses yeux écœure les ouvriers. Jean-Luc Mélenchon a assuré : "Nous sommes devenus le premier parti des chômeurs, précaires, jeunes de moins de 35 ans, des centres urbains, nous sommes le peuple des humiliés et opprimés". L'Insoumis a argué que la Nupes a "gagné le premier tour des législatives" et a pointé la responsabilité "de la droite qui a préféré voter blanc ou s'abstenir pour laisser passer un facho" au second tour. Sur les "allocs", Jean-Luc Mélenchon s'est insurgé : "Ca ne veut rien dire que (...)

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