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Garouste au Centre Pompidou : «Il faut que la peinture reste un mythe»

«Oh vous savez, la peinture, c’est secondaire! » répondait Gérard Garouste à un visiteur pendant le vernissage de son exposition. C’était une boutade… et pas tout à fait. «Ce qui compte dans un tableau, c’est le sujet. La peinture va de soi, je n’invente rien. À lire aussi Dans le bureau de Gérard Garouste Depuis qu’une main humaine s’est imprimée sur une roche dans la grotte Chauvet, et jusqu’à Marcel Duchamp, les artistes ont bouclé la boucle de la peinture par la technique. De même, la naissance de la photographie n’a pas empêché la peinture de se développer. Elle lui a même donné une nouvelle dimension. Il faut que la peinture reste un mythe.» À lire aussi Gérard Garouste rend hommage aux Justes de Haute-Loire Depuis une quarantaine d’années, le public connaît bien les tableaux de Gérard Garouste aux accents fantastiques, ses figures aux corps déformés parmi lesquelles on distingue parfois des écrivains et des animaux échappés de la Bible. La rétrospective du Cent