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Gérald Darmanin et l'article 24, retour sur 45 jours de polémiques

C'était le 14 janvier dernier. Les députés LREM Alice Thourot (Drôme) et Jean-Michel Fauvergue (Seine-et-Marne, ancien patron du RAID), auteurs quelques mois plut tôt d'un rapport parlementaire sur le "continuum de sécurité", déposent une proposition de loi "vers une sécurité globale". Le texte entend réformer en profondeur le secteur de la sécurité privée en France et s'intéresse aux moyens accordés aux polices municipales. Rien de plus. A l'époque, les deux élus sont bien loin de s'imaginer la polémique à venir. L'article 24, comme d'autres, n'existait pas.

Une proposition de loi retirée, puis redéposée

La suite se déroule neuf mois plus tard. La première proposition de loi est "retirée par son auteur" le 14 octobre et une nouvelle - remaniée - est déposée le lendemain. Le contexte est tout autre. Les syndicats de police sont reçus le jour même par Emmanuel Macron en personne, en présence également d'Eric Dupond-Moretti (Justice) et de Gérald Darmanin (Intérieur). Une attaque aux mortiers d'artifice contre le commissariat de Champigny-sur-Marne a eu lieu le week-end précédent, et deux policiers en mission en civil ont aussi été blessés par balles à Herblay (Val-d'Oise). "Il est grand temps que le gouvernement se saisisse des violences commises contre les forces de l'ordre (...) Plus personne ne respecte les forces de l'ordre", déclare alors Frédéric Lagache, le délégué général d'Alliance.

Dans ce contexte, la nouvelle proposition de loi - "relative à la sécurité globale&qu...


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