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Franchises : la CFDT attaque Carrefour en justice pour pratiques illicites

OceanProd/Adobe Stock

Très critique depuis plusieurs années contre le transfert par Carrefour de nombreux magasins à des tiers, le syndicat CFDT, qui estime qu'il s'agit de «délocalisations locales» de dizaines de milliers d'emplois, est passé à la vitesse supérieure lundi 11 mars, en assignant en justice le géant du CAC 40. Plus de 300 magasins et 23 000 salariés sortis des effectifs depuis 2017 : depuis l'arrivée à la tête de Carrefour du PDG Alexandre Bompard, les organisations représentatives du personnel, dont la CFDT, n'ont eu de cesse de contester le passage d'un nombre significatif de magasins en franchise et en location-gérance.

Ces termes désignent la cession à des tiers de la gestion des points de vente. Pour Carrefour, qui revendique plus de 5 000 magasins en France, le mouvement permet de conserver sa part de marché commerciale tout en se libérant d'un certain nombre de dépenses, à commencer par les salaires. En outre, le franchisé s'approvisionne auprès de la centrale du groupe, plaçant Carrefour dans un rôle de grossiste. Mais cela n'est pas sans conséquence pour les salariés.

Une fois que leur magasin a «basculé», ils ne sont plus employés par un grand groupe coté au CAC 40, longtemps fier d'être le premier employeur privé de France, mais par une plus petite structure, perdant au passage les avantages sociaux négociés au sein de Carrefour, évalués par la CFDT à 2 000 euros par an. «Nous estimons que ce mode de gestion tel que pratiqué par Carrefour ne répond pas aux règles du droit et (...)

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