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« La France, solidaire des Ukrainiennes, peut l’être aussi des Afghanes »

La chercheuse et activiste Naveen Hashim lors de son arrivée en France, aux côtés de quatre femmes afghanes et de trois enfants, le 4 septembre 2023.   - Credit:GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP
La chercheuse et activiste Naveen Hashim lors de son arrivée en France, aux côtés de quatre femmes afghanes et de trois enfants, le 4 septembre 2023. - Credit:GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Cinq femmes afghanes et trois enfants menacés par les talibans ont atterri en France lundi après-midi, lors de la première évacuation de ce type depuis la prise de Kaboul, le 15 août 2021.

Liées aux Occidentaux ou haut placées dans la société afghane, ces cinq femmes étaient, avant le changement de régime, directrice d'université, consultante pour des ONG, présentatrice télé ou encore enseignante. Depuis le retour au pouvoir des talibans, elles ont vu leurs droits se réduire, et presque disparaître, le régime ayant rétabli l'obligation du port du voile intégral, interdit la scolarisation des filles après 12 ans et exclu les femmes de l'université.

À LIRE AUSSIAfghanistan : le cri d'alarme du Dr Éric Cheysson

Réfugiées au Pakistan après avoir quitté leur pays par leurs propres moyens, elles sont parvenues à obtenir un visa pour la France grâce à l'appui d'un collectif de journalistes et de France terre d'asile. Mais si leur arrivée est symbolique, elles restent très peu nombreuses à être ainsi accueillies en France.

La directrice générale de l'ONG, Delphine Rouilleault, revient sur les contours de cette opération inédite et appelle à la mise en place d'un programme d'accueil plus large pour venir en aide aux Afghanes réfugiées au Pakistan.

Le Point : Comment ces cinq femmes sont-elles arrivées en France et que va-t-il se passer pour elles maintenant ?

Delphine Rouilleault : Ces cinq femmes sont arrivées non pas dans le cadre d'un programme d'accueil organisé par [...] Lire la suite