Publicité
La bourse ferme dans 1 h 10 min
  • CAC 40

    8 109,41
    +3,63 (+0,04 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 004,61
    -3,56 (-0,07 %)
     
  • Dow Jones

    38 453,54
    -50,15 (-0,13 %)
     
  • EUR/USD

    1,0702
    -0,0002 (-0,02 %)
     
  • Gold future

    2 332,40
    -9,70 (-0,41 %)
     
  • Bitcoin EUR

    61 761,70
    -827,00 (-1,32 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 427,70
    +3,60 (+0,25 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,95
    -0,41 (-0,49 %)
     
  • DAX

    18 120,94
    -16,71 (-0,09 %)
     
  • FTSE 100

    8 057,88
    +13,07 (+0,16 %)
     
  • Nasdaq

    15 775,81
    +79,17 (+0,50 %)
     
  • S&P 500

    5 075,74
    +5,19 (+0,10 %)
     
  • Nikkei 225

    38 460,08
    +907,92 (+2,42 %)
     
  • HANG SENG

    17 201,27
    +372,34 (+2,21 %)
     
  • GBP/USD

    1,2446
    -0,0007 (-0,05 %)
     

La France a bloqué 1 300 sites de streaming pirate sur le sport

piratage sport
piratage sport

Les efforts pour empêcher l’accès à du streaming piratage de matchs ont conduit les opérateurs télécoms français à bloquer 1 300 sites web, sur demande des chaînes de télévision et sur décision de justice.

Visionner illégalement des compétitions sportives est devenu plus difficile en France. La raison ? La France s’est dotée d’un nouveau cadre juridique depuis octobre 2021, ce qui permet aux ayants droit — les chaînes détenant les droits de retransmission des matchs — de s’attaquer plus frontalement aux sites de streaming pirates pour obtenir leur blocage.

Les titulaires de droits sportifs n’ont d’ailleurs pas traîné pour se saisir de ce nouveau levier pour empêcher les internautes situés en France de se connecter à certains sites préalablement identifiés. Dès janvier 2022, plusieurs sites ont été ciblés par beIN Sports, avec succès. C’était la première action de ce type depuis la nouvelle loi anti-piratage, entrée en vigueur en octobre 2021.

PUBLICITÉ

Depuis, les opérations se sont succédé — souvent pour des matchs de football, à l’image de la rencontre PSG – Real Madrid de février dernier, mais aussi lorsque s’est tenue la Coupe du Monde au Qatar. Aujourd’hui, selon une synthèse faite par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), ce sont 1 299 sites qui ont été bloqués.

Des blocages demandés sous l’empire de l’urgence

Dans ce cadre, une procédure judiciaire peut être déclenchée en urgence pour obtenir une intervention rapide des tribunaux,

[Lire la suite]