La Formula E a un défaut : ce n’est pas très excitant
Nissan nous a invités à découvrir la Formula E, à l’occasion du Grand Prix de Monaco, qui s’est déroulé ce samedi 30 avril. C’était l’opportunité pour nous de mieux appréhender cette discipline et ses évolutions à venir.
L’électrification des sports mécaniques est en marche. Si de nombreuses compétitions automobiles ont commencé à introduire des moteurs hybrides (Formule 1 et WRC pour citer les plus mythiques), il n’y a que deux compétitions spectaculaires qui se consacrent uniquement au 100 % électrique : la Formula E et l’Extreme E. La Formula E reprend le principe de courses en monoplaces sur des circuits urbains s’inspirant de la Formule 1, mais en version 100 % électrique. L’Extreme E est une épreuve de tout-terrain avec des SUV électriques qui se déroule aux 4 coins du monde. Ces épreuves sont créées en intégrant une démarche plus respectueuse de l’environnement.
La Formula E en est à sa 8e saison, elle se déroule sur différents circuits dans le monde. Pour cette année, ce sont les villes de Rome, Monaco, Berlin et Londres qui ont été retenues afin d’accueillir l’épreuve en Europe. Paris a été hôte de l’événement pendant plusieurs années (de 2016 à 2019) avec un circuit urbain au cœur des Invalides. En attendant un éventuel retour de la Formula E à Paris dès 2023, c’est à Monaco, sur le tracé du célèbre circuit de Formule 1, que l’on a pu suivre cette épreuve du championnat du monde.
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