Les fondateurs de Tinder poursuivent en justice Match Group et IAC en disant qu'ils ont été arnaqués — et ils cherchent à récupérer au moins 2 Mds$ en dommages
Sean Rad, cofondateur de Tinder, à l'Advertising Week Europe à Londres en avril 2016. Advertising Week Europe
Un groupe de premiers employés de Tinder, dont les cofondateurs Sean Rad et Jonathan Badeen, ont annoncé ce mardi 14 août 2018 avoir engagé une action en justice contre InterActiveCorp et Match Group, les propriétaires de Tinder.
Ils affirment qu'IAC a sous-évalué Tinder et utilisé une valorisation basée sur des informations erronées pour réduire la valeur des stock options que les premiers employés de Tinder et ses fondateurs possédaient. Les plaignants réclament au moins 2 milliards de dollars de dommages.
L'équipe de Tinder a reçu des contrats écrits en 2014, présentant les stock options ainsi que quatre dates auxquelles ils pouvaient les exercer, selon la plainte déposée ce mardi. Mais ils affirment qu'avant la première date d'exercice, en mai 2017, IAC a valorisé Tinder à 3…
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