La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 135,06
    +18,82 (+0,26 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 174,66
    +13,10 (+0,31 %)
     
  • Dow Jones

    33 507,50
    -158,84 (-0,47 %)
     
  • EUR/USD

    1,0575
    +0,0008 (+0,07 %)
     
  • Gold future

    1 864,60
    -14,00 (-0,75 %)
     
  • Bitcoin EUR

    25 456,46
    -33,22 (-0,13 %)
     
  • CMC Crypto 200

    579,66
    +0,90 (+0,15 %)
     
  • Pétrole WTI

    90,77
    -0,94 (-1,02 %)
     
  • DAX

    15 386,58
    +63,08 (+0,41 %)
     
  • FTSE 100

    7 608,08
    +6,23 (+0,08 %)
     
  • Nasdaq

    13 219,32
    +18,05 (+0,14 %)
     
  • S&P 500

    4 288,05
    -11,65 (-0,27 %)
     
  • Nikkei 225

    31 857,62
    -14,90 (-0,05 %)
     
  • HANG SENG

    17 809,66
    +436,63 (+2,51 %)
     
  • GBP/USD

    1,2201
    -0,0005 (-0,04 %)
     

Le FMI tire à nouveau la sonnette d’alarme sur le niveau élevé de la dette mondiale

REUTERS - Johannes Christo

Bien que l'endettement mondial public et privé a enregistré une baisse en 2022, il reste bien supérieur au niveau d’avant la pandémie de Covid-19 : 235 000 milliards de dollars américains, soit 238% du produit intérieur brut mondial. C'est 9 points de plus qu’en 2019.

Il y a plusieurs raisons qui expliquent cet endettement excessif. Profitant des taux d’intérêt faibles, instaurés après la crise financière de 2008, les États mais aussi les entreprises et les ménages se sont endettés massivement. Autre raison ; lors de la pandémie de Covid-19, les États ont adopté des mesures de soutien budgétaire pour répondre à la chute brutale de l’activité économique et stimuler la croissance. Puis est arrivée l’inflation, qui s’est accélérée avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie ; de nombreux gouvernements ont dépensé davantage pour répondre à la flambée des prix des produits alimentaires et de l'énergie. Toutes ces mesures ont été financées par la dette qui, ainsi, grandit.

À lire aussiLe coût de la dette pour les États a «monté en flèche»

Les pays riches mieux armés face à la crise

Les perspectives d’une crise financière sont plus faibles dans les pays développés, qui ont des mécanismes de surveillance, des marges de manœuvres et des banques centrales solides.


Lire la suite sur RFI