La fin du monde environnementale est une bénédiction, voici pourquoi
SCIENCE - Savoir que l’on va dans le mur, est-ce le premier pas pour le surmonter, ou simplement la réalisation qu’il n’y a plus rien à faire?
La collapsologie, la science de l’effondrement, est une discipline à l’honneur depuis maintenant plusieurs années, à mesure que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour la planète. Mais ses penseurs sont-ils crédibles, et où peut-on aller ensuite, au-delà d’un constat très sombre?
C’est justement la question que l’on se pose dans ce nouvel épisode de l’Enver(t) du décor, à écouter en haut de l’article ou en s’abonnant ci-dessous. Le podcast environnement du HuffPost accueille cette fois Marine Le Breton, journaliste au service Life, parce que c’est toujours plus sympa de parler de la fin du monde à trois.
Les sources utilisées :
Notre dossier “Comment ne pas s’effondrer face à l’effondrement”
Définition de la collapsologie par Yves Cochet en 2011, vidéo sur TV5 Monde
Interview de Pablo Servigne sur 20 Minutes
Interview de Jean Chamel, anthropologue qui a soutenu une thèse sur les collapsologues en 2018
Interview de Jared Diamond dans Philomag
Un article de Jean-Pierre Dupuy en 2020, intitulé “Contre les collapsologues et les optimistes béats, réaffirmer le catastrophisme éclairé”
Texte de Maxime Pauwels, enseignant-chercheur en écologie et évolution critiquant la collapsologie
Le livre “Le pire n’est pas certain”, de Catherine et Raphaël Larrère
Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.