Faut-il supprimer le Livret A ?
Plus de frais de transports, de restaurants, de sorties... En nous obligeant à rester chez nous de la mi-mars à la mi-mai, le coronavirus a permis à certains d’entre nous d’économiser beaucoup d’argent. Une « épargne forcée » qui, face à la crainte d’une crise économique majeure, s’est transformée depuis en épargne de précaution. Résultat : selon la Banque de France, l’épargne accumulée de mars à juillet s’élève à près de 86 milliards d’euros, et devrait atteindre les 100 milliards d’ici la fin de l’année. Sur ce total, un tiers environ - plus de 30 milliards d’euros à la fin août selon la Caisse des Dépôts (CDC) - a atterri sur un Livret A ou un Livret de développement durable et solidaire (LDDS).
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