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Faut-il aller voir « Astérix et Obélix : l’empire du Milieu » ?

Gilles Lellouche, Guillaume Canet, Julie Chen et Jonathan Cohen dans « Astérix et Obélix : l'empire du Milieu », en salle le 1er février.  - Credit:Christophe Brachet
Gilles Lellouche, Guillaume Canet, Julie Chen et Jonathan Cohen dans « Astérix et Obélix : l'empire du Milieu », en salle le 1er février. - Credit:Christophe Brachet

Tout le monde en parle, impossible de passer à côté de cette superproduction française, lancée il y a quatre ans, freinée par le Covid et, enfin à l'affiche des salles de cinéma avec pour mission de les remplir, sous peine d'accident industriel. Autant dire que la pression est forte sur cet Astérix et Obélix : l'empire du Milieu réalisé par Guillaume Canet qui doit faire aussi bien sinon mieux que ses aînés, Alain Chabat – sa référence assumée –, Claude Zidi, le tandem Frédéric Forestier/ Thomas Langmann et Laurent Tirard qui ont attiré en tout quelque quarante millions de spectateurs en France.

Évidemment, face à tel enjeu artistique et financier (65 millions d'euros de budget), Guillaume Canet, au bord du vertige, s'est assuré d'abord outre le premier rôle, un gros casting qui ratisse large – son pote Gilles Lellouche, Vincent Cassel, Jonathan Cohen, Marion Cotillard, Pierre Richard, Philippe Katherine, Big Flo et Oli, Angèle, McFly et Carlito, Zlatan Ibrahimovic, Matthieu Chedid. Puis il a mélangé le tout en croyant que tous ces noms, piochés adroitement dans à peu près tous les domaines du divertissement, suffiraient à eux seuls à porter un film qui souffre, hélas, d'un scénario prévisible, servi par des dialogues écrits en pilote automatique.

Pas facile en réalité d'inventer une nouvelle histoire sans avoir pour support la BD originale. Celle-ci est, comme il se doit, toute simple : il s'agit pour nos deux irréductibles Gaulois de sauver la princesse de [...] Lire la suite