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Fast Fashion : pourquoi la marque chinoise Shein se retrouve dans le viseur de la France

Illustration Capital

La politique va-t-elle utiliser des armes pour sonner le glas de la consommation à outrance ? À la suite d’une saisine par les députés socialistes Dominique Potier (Meurthe-et-Moselle) et Boris Vallaud (Landes), en juin dernier, la cellule française de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a annoncé mardi 14 novembre l’ouverture d’une procédure à l’encontre du géant chinois de la fast fashion, Shein. Cette procédure vise à déterminer si la chaîne de production de l'entreprise de vente en ligne a violé, ou non, les principes de l’OCDE relatifs au respect des droits humains, du droit du travail, de l’écologie, de l’intérêt et de la santé des consommateurs, ainsi que de la concurrence.

Interrogé par Capital, Shein nous confie avoir «répondu rapidement et rencontré le point de contact national de l’OCDE lorsque nous avons été sollicités en juillet dernier. Nous avons coopéré et continuerons à coopérer pleinement pour répondre à toutes les questions que le point de contact national de l'OCDE pourrait avoir».

Attaquée depuis plusieurs mois par des ONG, des autorités publiques et des acteurs du monde du textile, la marque, qui a généré un chiffre d’affaires de 21,3 milliards d’euros en 2022, avait répondu en mai à l’AFP être un fabricant «à la demande», ce qui lui permet de réduire de manière «drastique» les invendus et, donc, la production de déchets.

Mais cette réponse n’a visiblement pas été satisfaisante. Les députés socialistes, qui, dans un communiqué (...)

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