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Faillites d'entreprises : quelles seront les conséquences de la fin du "quoi qu'il en coûte"?

Face à la crise économique liée aux mesures sanitaires, le gouvernement a mis en place différents dispositifs d'aides, dont l'objectif est de permettre aux entreprises (viables ou non) de faire face à leurs échéances. Un an et demi après leur instauration, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a annoncé la levée de ces aides. "Le 'quoi qu'il en coûte', c'est fini", a-t-il déclaré à l'occasion de la Rencontre des entrepreneurs de France du Medef, le 25 août. La fin des aides de l'État laisse donc craindre une recrudescence des faillites qui avaient été jusqu'alors limitées. En effet, selon le rapport Altares 2021, celles-ci ont augmenté de 14,2%, mais ce chiffre reste en recul de 48% par rapport à la période 2017-2019.

Lire aussi - Patrick Artus sur la fin du "quoi qu'il en coûte" : "A partir de maintenant, il va falloir compter l'argent"

Certes, il est difficile de prévoir le nombre de défaillances qui surviendront après la levée des mesures d'aides. Pour l'année 2021, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) s'attend à un chiffre de 60.000 à 100.000 alors qu'Altares prévoit entre 33.000 et 35.000 défaillances. Quoi qu'il en soit, il ne fait guère de doute que ces défaillances vont être coûteuses. Mais quels sont ces coûts? Et sommes-nous réellement capables de les mesurer?

Les coûts sont à la fois directs et indirects. En ce qui concerne les coûts directs, ils sont constitués par les frais des mandataires de justice. D'autres éléments ...


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