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Facebook n'aurait pas appliqué sa politique contre la désinformation à Donald Trump et ses alliés

Facebook n'aurait pas appliqué sa politique contre la désinformation à Donald Trump et ses alliés

Facebook aurait suspendu l'application de ses règles contre la désinformation aux principaux alliés du président Donald Trump par crainte d'être accusé de partialité anticonservatrice, a rapporté dimanche le Washington Post. Des employés de Facebook ont déclaré au journal que la société avait fait preuve de légèreté sur certains comptes, dont un appartenant à Donald Trump Jr et un autre à America First Action, le plus grand super PAC (Comité d'action politique) pro-Trump.

Vers la fin de 2019, la société aurait retiré les sanctions visant une fausse information publiée sur le compte Instagram de Donald Trump Jr, selon deux sources. Le journal n'a pas précisé quel post était en cause, mais si la sanction avait été maintenue, Facebook aurait pu réduire du trafic sur le compte et lui donner une priorité moindre dans les résultats de recherche. Selon une source, il s'agissait d'un des nombreux retraits de sanction pour les membres de la famille de Donald Trump au cours de l'année dernière.

Le Washington Post a également analysé la page Facebook d'America First Action. Il a constaté que, bien que la page ait violé les règles de Facebook sur la désinformation et ait été vérifiée à plusieurs reprises, le trafic n'avait pas diminué, comme cela se produit habituellement pour les comptes qui enfreignent les règles. Le groupe pouvait toujours faire de la publicité, selon le journal, ce qui laisse entendre que Facebook n'a pris aucune mesure contre lui.

Facebook a toujours été accusé de partialité anticonservatrice par les législateurs républicains et le président américain, et les accusations se sont multipliées à l'approche du jour des élections. Des sources ont déclaré au Washington Post que ces accusations avaient rendu Facebook anxieux quant à l'application de ses politiques aux figures et aux pages conservatrices. Cette anxiété aurait entravé les efforts de l'entreprise pour mettre fin à la désinformation sur sa plateforme, expliquent-ils.

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