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Facebook élabore un outil de censure pour revenir en Chine

(Reuters) - Facebook a discrètement élaboré un outil de censure susceptible de convaincre la Chine d'accepter son retour après une interdiction de sept ans, rapportait le New York Times mardi.

Facebook est interdit de séjour en Chine depuis les émeutes d'Urumqi de juillet 2009.

Facebook a conçu ce logiciel, qui supprime des thèmes de discussion des internautes dans certaines parties du globe, avec l'appui du directeur général Mark Zuckerberg, ajoute le quotidien, qui cite des salariés anciens et actuels.

Zuckerberg avait rencontré en mars Liu Yunshan, le responsable de la propagande de Pékin, lequel, selon l'agence Chine nouvelle, avait dit espérer que le réseau social développe les échanges ainsi qu'une certaine compréhension mutuelle avec les sociétés chinoises de la toile.

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"Nous disons depuis toujours que la Chine nous intéresse et nous consacrons beaucoup de temps à comprendre ce pays et à apprendre sur lui", dit Arielle Aryah, porte-parole de Facebook, dans un courriel adressé à Reuters.

"Nous n'avons toutefois encore pris aucune décision quant à notre démarche envers la Chine. Notre but actuellement est d'aider les entreprises et développeurs chinois à se développer dans de nouveaux marchés en dehors de la Chine par le biais de notre plate-forme publicitaire".

Si Facebook a développé le logiciel, il ne compte pas supprimer certains messages de son propre chef, en confiant le soin à un tiers, poursuit le New York Times.

Rien ne dit que Facebook ait proposé le logiciel aux autorités chinoises, écrit-il, ajoutant qu'il constitue l'une des nombreuses voies de réflexion suivies par le réseau social pour revenir en Chine et qu'il pourrait tout aussi bien ne faire l'objet d'aucune application concrète.

(Ismail Shakil, Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par)