Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0656
    +0,0010 (+0,10 %)
     
  • Gold future

    2 402,70
    +4,70 (+0,20 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 267,88
    +811,99 (+1,37 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 381,98
    +69,36 (+5,48 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,25
    +0,52 (+0,63 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2371
    -0,0067 (-0,54 %)
     

Facebook aurait dû payer 4 milliards d’euros pour ses fautes, dénonce une association

argent euro
argent euro

Meta, la maison mère de Facebook, aurait-elle dû payer 390 millions ou 4 milliards d’euros ? Une polémique apparaît sur la sanction infligée à l’entreprise américaine début 2022. Elle serait beaucoup trop basse.

390 millions d’euros. Tel est le montant de l’amende infligée en début d’année à Meta, la maison mère de Facebook, par la Commission irlandaise pour la protection des données (DPC), qui remplit les mêmes missions que la Cnil en France. Le site américain ayant établi en Irlande son QG pour ses activités européennes, la DPC se trouve en première ligne.

Problème : cette sanction, qui cible des faits couverts par le Règlement général sur la protection des données (RGPD), n’a pas été correctement calculée. C’est, du moins, l’avis d’une association en pointe sur les thématiques de vie privée dans l’espèce numérique : None of your Business (Noyb). À ses yeux, l’amende aurait dû atteindre les… 4 milliards d’euros.

Une sanction accusée d’être dix fois trop petite

Pour arriver à ce montant, Noyb a inclus trois paramètres :

PUBLICITÉ

[Lire la suite]