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Face à l'endettement élevé des Etats, "les critères de Maastricht doivent être repensés"

Les critères de Maastricht n’ont plus grande signification aujourd’hui du fait de leur dépassement constaté ou prévisible dans la plupart des pays de la zone euro. Si le constat de caducité s’impose clairement, la question de leur nouvelle définition s’avère complexe. Il faut se rappeler qu’à l’origine, ces critères de Maastricht avaient une double finalité. Il s’agissait en effet de rassurer les pays du Nord, jusque-là convaincus de l’indiscipline financière des pays du Sud, mais également d’envoyer un message de bonne gestion de la zone euro en direction des marchés financiers et des investisseurs étrangers.

La question de l’opposition entre pays dépensiers et pays "frugaux" a perdu de fait une grande partie de son intensité dans le contexte de la guerre en Ukraine. Les pays du Nord - et notamment l’Allemagne - ont en effet annoncé leur volonté d’augmenter considérablement leurs dépenses dans le domaine militaire, laissant présager l’augmentation de leur endettement, rejoignant ainsi, pourrait-on dire, le peloton des pays endettés, voire très endettés.

C’est donc de manière solidaire que l’Europe pourrait aborder le problème de sa dette, la Commission européenne se portant emprunteuse au nom des États, à partir du dispositif déjà en place et dont l’amplitude serait revue à la hausse. Le problème qui se posera et se pose sans doute déjà concerne la réaction des marchés, et plus particulièrement leur perception du risque "Europe".

De leur point de vue, le plus grand changement (...)

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