Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 465,25
    +30,18 (+0,41 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 843,99
    +29,91 (+0,62 %)
     
  • Dow Jones

    41 393,78
    +297,01 (+0,72 %)
     
  • EUR/USD

    1,1079
    +0,0002 (+0,02 %)
     
  • Gold future

    2 606,20
    +25,60 (+0,99 %)
     
  • Bitcoin EUR

    54 310,06
    -190,54 (-0,35 %)
     
  • XRP EUR

    0,53
    +0,01 (+1,79 %)
     
  • Pétrole WTI

    69,24
    +0,27 (+0,39 %)
     
  • DAX

    18 699,40
    +181,01 (+0,98 %)
     
  • FTSE 100

    8 273,09
    +32,12 (+0,39 %)
     
  • Nasdaq

    17 683,98
    +114,30 (+0,65 %)
     
  • S&P 500

    5 626,02
    +30,26 (+0,54 %)
     
  • Nikkei 225

    36 581,76
    -251,51 (-0,68 %)
     
  • HANG SENG

    17 369,09
    +128,70 (+0,75 %)
     
  • GBP/USD

    1,3124
    -0,0001 (-0,01 %)
     

Comment expliquer la baisse inattendue du chômage alors que les créations d'emplois stagnent ?

HJBC/Adobe Stock

Bonne nouvelle concernant le chômage. Son taux est en baisse de 0,2 point au deuxième trimestre. Ainsi, il y a désormais 7,3 % de la population active au chômage, rapporte l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), relayé par Les Échos, le 9 août 2024. Il y a 40 000 chômeurs de moins pour porter le total à 2,3 millions. Interrogé par le quotidien économique, Vladimir Passeron, chef du département de l'emploi et des revenus d'activité de l'Institut statistique national, se réjouit de ces résultats. «C'est une petite, et bonne surprise, à rebours de la tendance observée depuis 2023.» Ses équipes avaient plutôt envisagé «une stabilisation du taux de chômage» avant d’observer «une légère progression tout en restant à des niveaux historiquement très bas».

Ces chiffres sont à mettre en parallèle avec ceux de l’emploi salarié dévoilés un peu plus tôt dans la semaine. Là encore, ils étaient inattendus, mais plutôt dans le sens inverse. Vladimir Passeron parle cette fois-ci de «mauvaise surprise». Le nombre d’emplois stagne depuis le premier trimestre de l’année. Contacté par Les Échos, Éric Heyer, économiste à l’OFCE, veut y voir un regain de la productivité. Selon lui, il faut désormais que la «croissance du PIB reprenne de la vigueur, au moins 1,6 % par an», pour que le chômage tende vers les 6 %.

Il n’en reste pas moins que les chiffres dévoilés par l’Institut ont de quoi surprendre. En effet, dans une note précédente, elle envisageait une hausse de la (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Brésil : que sait-on du tragique crash d'avion qui a fait 62 morts ?
Les passagers d’un vol EasyJet vers Madrid ont eu une grosse frayeur à cause d’une panne d’électricité
Parade olympique sur les Champs-Elysées : une fête pour booster l'économie locale ?
Donald Trump pense avoir «un meilleur instinct» que le chef de la Fed et «son mot à dire»
JO 2024 : les sponsors des Jeux cibles de nombreuses critiques