Epargne : comment profiter du krach quand on n'y connaît rien (ou presque) ?
Mettant en péril la croissance économique mondiale, l’épidémie du coronavirus est à l’origine de la chute spectaculaire des indices boursiers. A Paris, le CAC 40 - composé de 40 actions d’entreprises françaises parmi les plus fortes capitalisation boursières - a ainsi dégringolé en moins d’un mois de 36% pour passer en dessous du seuil des 3 900 points, au plus bas depuis l’été 2013 !
Pour les investisseurs déjà actifs sur les marchés, cette période est catastrophique. Impossible dans ces conditions de vendre sans subir de lourdes pertes. Mais pour les autres, « c’est plutôt le moment de faire de bonnes affaires », de l’aveu même d’Agnès Pannier-Runacher, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances. Si cette déclaration faite sur CNews le 10 mars dernier peut sembler inappropriée, elle décrit néanmoins une réalité : le moment idéal pour placer son argent c’est lorsque les marchés dévissent.
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