Epargne : avec 11% de rendement, ce placement ne connaît pas la crise
Chaque jour, les sociétés du CAC 40, indice phare de la place de Paris, drainent des flux financiers colossaux, et leurs actions s'échangent à prix d'or. Pourtant, ces entreprises ne représentent qu'une infime partie de l'appareil productif français. Ainsi, sur les 4,1 millions d'entreprises recensées par l'Insee en France, seules 800 sont cotées en bourse sur Euronext Paris. Résultat : tout un pan de l'économie française demeure inaccessible via l'investissement en bourse « classique ».
La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible d'investir dans ces entreprises même si elles ne sont pas cotées en bourse. On parle alors de « private equity », ou capital-investissement en français : une pratique qui consiste à prendre une participation au capital d'entreprises non cotées. « Le private equity est un pari sur l'avenir », explique Claude Calmon, fondateur de Calmon Partners, un cabinet de recrutement et de conseil en levée de fonds. « Selon les cas, l'investisseur finance le lancement d'une entreprise, son développement ou sa transmission, dans l'espoir de réaliser une plus-value lors de la revente de ses parts ».
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