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Environnement. Bagdad noyé dans les déchets malgré des icônes sacrées

L’Irak est confronté à un problème chronique d’amoncellement d’ordures ménagères. Les riverains portent aussi une part de responsabilité. Pour tenter de les dissuader de jeter leurs déchets dans les rues, certains font appel à des symboles religieux.

Comme “des milliers d’Irakiens habitant à Bagdad”, Umm Rami, habitante du quartier d’Al-Sadiriya, “s’est habituée aux collines de déchets” qui s’amoncellent dans les rues de la capitale irakienne, écrit le site Daraj.

Une “honte”, pour cette fonctionnaire. En cause, selon elle, la responsabilité des autorités, mais aussi “le manque de culture environnementale des habitants de Bagdad”, explique-t-elle.

D’un côté, la municipalité [de Bagdad] compte sur le fait que les citoyens ne jettent pas leurs ordures n’importe où. De l’autre, les citoyens se plaignent du manque de conteneurs de déchets présents dans les artères principales et du fait que les camions poubelles ne passent pas tous les jours.”

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En Irak, un grand nombre de rigoles formant le réseau des eaux usées “sont devenues des déchetteries à ciel ouvert”, déplore As-Safir Al-Arabi.

À lire aussi: Pollution. En Irak, le danger mortel des gaz pétrolifères toxiques

Figures sacrées

Pour résoudre le problème de l’accumulation des déchets à Bagdad, certains ont eu une idée pour le moins incongrue, explique Daraj :

De nombreux Irakiens rêvant de rues propres et vidées de leurs ordures ont pris l’initiative d’installer des photos de figures religieuses à l’entrée des rues ou sur des parcelles vides afin de dissuader les riverains

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