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Entreprises : "il faut changer de système" pour sauver la planète, estime Paul Polman, ancien patron d'Unilever

Monika Flueckiger / Flickr

"Faire moins mal qu’avant ne suffit plus. Il faut changer de système, et plus seulement optimiser un système qui ne fonctionne plus", argue Paul Polman, à la tête d'Unilever jusqu'en 2019. Dans un entretien accordé à nos confrères du Figaro, vendredi 16 septembre, celui qui fut pendant longtemps pionnier du développement durable estime que désormais, parler de bilan carbone ne suffit plus. Aujourd'hui, de nombreuses entreprises "se contentent d’acheter des crédits carbone pour déclarer qu’elles ont un impact net positif", mais il n'y a aucun intérêt à "réduire la pollution générée par un site pour laisser un autre rejeter, près des quartiers où vivent des populations défavorisées, des particules qui vont provoquer des crises d’asthme". Il n'y a également aucun "intérêt à atteindre 100 % d’énergie renouvelable dans une entreprise", tout en "laissant ses fournisseurs utiliser du gazole", explique le coprésident de la Commission mondiale sur l’économie et le climat.

Sans prôner la fin du capitalisme, Paul Polman estime qu'il faut "changer le néolibéralisme pour le rendre plus inclusif. C’est la seule façon de sauver le capitalisme". En d'autres termes, il faudrait "revenir au capitalisme d’avant Milton Friedman, pour qui le seul objectif d’une entreprise est de servir ses actionnaires". Or, "compte tenu de l’ampleur de l’urgence climatique, de l’obligation impérieuse d’enrayer les inégalités et du caractère changeant des marchés financiers, tout miser sur les résultats trimestriels (...)

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