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Entre la gauche et les écologistes, une réunion, mais des objectifs distincts

La réunion, c'est ce samedi. L'union? C'est plus tard. Yannick Jadot réunira dans la matinée, à partir de 10 heures, les principaux responsables des gauches et des écologistes dans une salle d'un hôtel du 19e arrondissement de Paris. L'eurodéputé vert voudrait mettre quelques grands chantiers sur la table et faire de ce rendez-vous le premier pas vers une "candidature commune" à la présidentielle, quitte à contourner la primaire des écologistes. Les socialistes sont sans doute les plus allants. La maire de Paris, Anne Hidalgo, et le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, doivent être là.

"C'est notre ligne qui devient partagée : la gauche peut disparaître si elle n'est pas rassemblée à la présidentielle. L'union est possible si on sort de nos querelles d'ego", déclare, enthousiaste, au JDD le porte-parole du PS, Pierre Jouvet.

Jean-Luc Mélenchon, lui, vise un "cessez-le-feu" à gauche, un "pacte de non-agression", mais ne veut pas entendre parler de candidature commune. Actuellement en déplacement en Amérique Latine, le leader de La France insoumise sera représenté par le député Eric Coquerel. "Jadot était au courant (de l'absence de Mélenchon, NDLR), mais Jadot a fait le choix de maintenir cette réunion ce jour-là", raconte l'eurodéputé insoumis Manuel Bompard. "Il y a un peu le fait de voir ce qui est mis sur la table, on ne sait pas trop. Si l'idée - quand il y a une offensive très forte d'extrême droite - c'est comment on aborde la période à venir sans en ajouter dans...


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