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Engie signe un contrat pour du gaz naturel liquéfié américain et suscite la colère des ONG

Le groupe français Engie, qui cherche à diversifier ses approvisionnements gaziers hors de Russie, a signé un contrat d'approvisionnement de gaz naturel liquéfié (GNL) sur 15 ans auprès de l'américain NextDecade, a annoncé lundi 3 mai ce dernier, attirant les critiques de défenseurs de l'environnement. Engie va acheter 1,75 million de tonnes par an de GNL provenant du futur terminal texan Rio Grande, à partir de 2026, indique NextDecade dans un communiqué. La gaz russe représente 20% des approvisionnements d'Engie. Mais pour se diversifier, le groupe négocie actuellement des volumes additionnels avec d'autres pays, dont les Etats-Unis.

Engie avait déjà étendu en mars un contrat avec un autre groupe américain, Cheniere Energy, pour lui acheter plus de GNL que prévu initialement et pour plus longtemps. Les Amis de la Terre France ont dénoncé lundi un contrat "toxique" avec NextDecade et ont accusé Engie et le gouvernement français d'"incohérence". En 2020, un contrat négocié avec la même entreprise américaine avait en effet été abandonné après avoir été contesté par des défenseurs de l'environnement et l'Etat, qui détient près de 24% d'Engie.

À l'époque, les critiques pointaient l'importation de gaz de schiste, produit par fracturation hydraulique, un mode d'extraction interdit en France. "Les risques associés au projet sont nombreux, démontrés et reconnus : méga-projet implanté au coeur de l’écosystème riche et vulnérable d’une réserve naturelle ; menace pour la survie d’espèces (...)

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