Publicité
Marchés français ouverture 2 h 33 min
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • Nikkei 225

    37 706,79
    -753,29 (-1,96 %)
     
  • EUR/USD

    1,0711
    +0,0010 (+0,10 %)
     
  • HANG SENG

    17 295,93
    +94,66 (+0,55 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 895,18
    -2 446,02 (-3,92 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 386,12
    -37,98 (-2,67 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     

Engie se dit prêt à coopérer avec Areva

Dans une interview au Financial Times, le PDG d'Engie (anciennement GDF Suez) Gérard Mestrallet déclare que le groupe est prêt à coopérer avec Areva mais n'entend pas procéder à un véritable rachat d'actifs du groupe nucléaire français en difficultés. /Photo prise le 24 avril 2015/REUTERS/Gonzalo Fuentes

PARIS (Reuters) - Le groupe Engie (anciennement GDF Suez) est prêt à coopérer avec Areva mais n'entend pas procéder à un véritable rachat d'actifs du groupe nucléaire français en difficultés, a dit Gérard Mestrallet, le PDG d'Engie, au Financial Times.

"Si nous envisageons quelque chose, ce serait en coopération avec Areva, pas simplement une acquisition de certains actifs", a déclaré Gérard Mestrallet au quotidien britannique, en marge d'une conférence sur le changement climatique à Paris.

"Nous avons l'habitude des joint-ventures avec Areva, des coopérations", a dit aussi le PDG d'Engie qui a précisé qu'aucune décision n'avait toutefois encore été prise.

Personne n'était joignable dans l'immédiat chez Engie pour donner plus de précisions sur les coopérations envisagées.

PUBLICITÉ

Engie avait déclaré début mai être intéressé par certaines activités d'Areva, sans toutefois préciser lesquelles.

Areva a indiqué jeudi ne pas chercher à défendre son "pré carré" mais qu'il veillerait à ce que tout actif vendu dans le cadre de son plan de sauvetage soit "bien valorisé".

Ces déclarations sont intervenues alors qu'EDF a officialisé mardi son intention de racheter l'activité réacteurs nucléaires d'Areva, tout en estimant que ce projet ne pourrait se concrétiser qu'à un prix "de marché" et assorti de garanties liées aux passifs de son fournisseur.

(Matthieu Protard, édité par Juliette Rouillon)