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En finir avec les «sales cons» au travail


Dans son livre volontairement provocateur, «Objectif zéro sale con», un professeur de management de Stanford, Robert Sutton, livre ses recettes pour venir à bout des pourrisseurs d'ambiance au bureau.



Que font les entreprises pour gérer les «sales cons» qui pourrissent la vie des autres salariés? Elles ont les yeux rivés sur leur performance économique, elles prônent le dynamisme et l'innovation pour se développer, mais elles se montrent bien peu «attentives à ces personnalités toxiques», qui s'avèrent être un coût inutile mais bien réel pour les finances des boîtes?

Volontairement provocateur, Objectif zéro sale con, le livre de Robert Sutton, professeur de management à Stanford, fixe en tout cas un cap à des dirigeants qui seraient bien avisés de regarder les choses en face. «Les sales cons sont des coûts qui n'apparaissent pas dans les comptabilités analytiques, mais faire l'inventaire de leurs dégâts n'est pas si difficile», explique-t-il.

Pour Robert Sutton, il y a urgence à agir car «ils pullulent». «Toutes les entreprises doivent adopter l'objectif zéro sale con parce que ces personnes infligent des dommages considérables à leurs victimes directes, à la performance organisationnelle, mais aussi à elles-mêmes.» Augmentation du stress et des risques de crise cardiaque chez ceux qui en sont victimes, hausse de l'absentéisme et envolée de la rotation du personnel. Le professeur de Stanford s'est même livré à un calcul de ce que coûte ce genre de salarié à une entreprise: il arrive à une addition «par sale con» de 160.000 dollars par an!

Mais comment agir pour atteindre cet «objectif zéro sale con»? Voici les cinq recettes de Robert Sutton.

Choisir les bons collaborateurs. Partant du principe que «des sales cons embaucheront d'autres sales cons», Robert Sutton suggère de les écarter des processus de recrutement ou d'impliquer aussi des «gens civilisés».

Identifier les salariés pourrisseurs d'ambiance et qui passent leur temps à brimer et harceler les autres. Pour y parvenir...Lire la suite sur LeFigaro.fr

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