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Les employés de la start-up frauduleuse Air Next n'ont pas touché de salaires depuis des mois

Ils avaient quitté leur emploi pour tenter l'aventure Air Next, une start-up qui devait mettre au point une application destinée à l'achat de billets d'avion ou de train à bas coût, grâce à la blockchain. Plusieurs dizaines de salariés et investisseurs, qui croyaient en ce projet, ont en réalité été victimes d'une vaste escroquerie. Depuis les révélations du scandale, en septembre 2021, les 36 salariés de l'entreprise vivent un véritable enfer, comme le relatent Les Échos. "Non seulement nous avons été arnaqués, mais aujourd'hui, nous sommes les laissés pour compte de la société", déplore l'un d'eux.

Malgré la plainte déposée contre leur employeur, ces salariés n'ont toujours rien touché : ni salaire, ni indemnisation, ni chômage. L'AGS (Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés), qui habituellement prend en charge les salaires des entreprises en difficulté, a refusé de les indemniser arguant que la "preuve d'une prestation de travail au sein de la société Air Next n'a pu être établie". Et le mandataire judiciaire, en charge de la liquidation d'Air Next, ne compte pas leur fournir d'attestations de travail. Ils ne pourront donc pas prétendre aux allocations-chômage. "C'est la double peine ! Nous avons péché par naïveté, mais là, personne ne veut nous aider. C'est très anxiogène. Personne ne nous explique pourquoi l'AGS refuse de payer", peste l'un des 36 salariés.

Contactés par Les Échos, le liquidateur judiciaire et l'AGS évoquent une nébuleuse, (...)

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