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Emilia Clarke électrise Deauville

LOU BENOIST / AFP

La star du 49ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, c’était elle. Dimanche soir, les fans se sont déplacés afin d’applaudir Emilia Clarke, alias Daenerys Targaryen, la mère des dragons dans la série culte Game of Thrones. Vêtue d’un robe noire scintillante, la comédienne britannique de 36 ans, qui a troqué la longue chevelure blond platine de son personnage iconique contre sa couleur naturelle, le châtain, est apparue resplendissante sur le tapis rouge, où elle a accordé autographes et selfies à ses admiratrices en larmes face à leur idole. Sur scène, elle a reçu un Hollywood Rising Star Award des mains du cinéaste français Alexandre Aja, membre du jury longs métrages présidé par Guillaume Canet. Et présenté son dernier film, The Pod Generation, de Sophie Barthes, un récit d’anticipation qui raconte comment l’intelligence artificielle s’immisce dans nos vies au point de prendre en charge la reproduction des êtres humains. Un thème d’actualité, qui a permis aux deux femmes d’exprimer leur soutien aux scénaristes et aux acteurs en grève aux Etats-Unis. Quelques heures auparavant, Emilia Clarke accueillait les journalistes dans sa suite, brandissant fièrement son engagement féministe avec un enthousiasme communicatif.

Depuis vendredi, force est de constater que le Festival de Deauville remplit les salles obscures en dépit du désistement de Peter Dinklage, partenaire d’Emilia Clarke dans Game of Thrones, Joseph Gordon Levitt, Natalie Portman (à l’affiche de May Decemb...


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