Publicité
La bourse ferme dans 2 h 5 min
  • CAC 40

    7 957,38
    -87,73 (-1,09 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 932,12
    -52,36 (-1,05 %)
     
  • Dow Jones

    37 735,11
    -248,13 (-0,65 %)
     
  • EUR/USD

    1,0632
    +0,0006 (+0,0532 %)
     
  • Gold future

    2 388,50
    +5,50 (+0,23 %)
     
  • BTC-EUR

    59 331,75
    -2 896,79 (-4,66 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    85,09
    -0,32 (-0,37 %)
     
  • DAX

    17 842,75
    -183,83 (-1,02 %)
     
  • FTSE 100

    7 849,87
    -115,66 (-1,45 %)
     
  • Nasdaq

    15 885,02
    -290,08 (-1,79 %)
     
  • S&P 500

    5 061,82
    -61,59 (-1,20 %)
     
  • Nikkei 225

    38 471,20
    -761,60 (-1,94 %)
     
  • HANG SENG

    16 248,97
    -351,49 (-2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2454
    +0,0008 (+0,0610 %)
     

Electricité : voici la flambée à laquelle vous échapperez au 1er février grâce au bouclier tarifaire

David Espejo / Getty Images

Le bouclier tarifaire est bien efficace, à en croire la proposition de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). L’organisme indépendant, qui adresse à l’exécutif sa proposition d’évolution des tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRVE), préconise une hausse moyenne de 99,36% toute taxe comprise pour les particuliers au 1er février 2023. Une véritable flambée. Heureusement, la loi de finances pour 2023 instaure un bouclier tarifaire qui permet au gouvernement de s’opposer aux propositions de la CRE si l'augmentation des tarifs est supérieure à 15% de ceux appliqués au 31 décembre. De quoi diviser le surcoût par près de 7. En moyenne, une hausse de 15% aboutira à un surcoût de 20 euros par mois pour les ménages se chauffant à l'électricité, selon l'exécutif.

Si la CRE propose une telle augmentation, c’est que les prix de gros de l’électricité ont tout bonnement explosé. Ils ont plus précisément, été entraînés dans le sillage de ceux du gaz qui ont eux aussi bondi.

Les outils de production ont eux souffert. En 2022, la moitié des réacteurs nucléaires françaises étaient à l’arrêt, en raison notamment de problèmes de corrosion. Les stocks d’eau nécessaires au bon fonctionnement des barrages hydrauliques ont eux aussi été mis à mal. Autant d'éléments qui ont contraint les fournisseurs français à se fournir sur l’onéreux marché de l’énergie.

Heureusement, comme l’a indiqué le gestionnaire de Réseau de transport de l'électricité (RTE) le 18 janvier, la situation est actuellement (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Sécurité routière : le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, mis à l'amende
Des scientifiques parviennent à voir des gens à travers les murs grâce au WiFi
La SNCF refuse de retarder un train, leur chat meurt écrasé
La Russie veut envoyer son char le plus puissant en Ukraine
Découvrez quelle est la ville la plus touristique au monde