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« Election volée », « déni de démocratie », « bras d’honneur » : la nomination de Michel Barnier fustigée par la gauche

AFP / DIMITAR DILKOFF

Ce jeudi après-midi, Emmanuel Macron a nommé Michel Barnier Premier ministre, après plus de cinquante jours d’attente. Le choix d’un membre des Républicains a suscité de vives critiques à gauche tandis que le RN a fait preuve de bienveillance.

Et plus de cinquante jours plus tard, un nom fut enfin donné. Celui de Michel Barnier, « Monsieur Brexit », qui eut la charge des négociations de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Savoyard de 73 ans, homme de droite, membre des Républicains (LR), celui qui fut aussi ministre sous les présidences de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy est un vieux briscard de la politique. Une expérience sur laquelle compte Emmanuel Macron.

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Le nouveau Premier ministre vivra sa passation de pouvoir avec l’actuel démissionnaire Gabriel Attal, ce jeudi à 18 heures. Puis devra « constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays et des Français », selon les mots du Président. Une tâche qui s’annonce difficile, tant les réactions de la première force politique de l’Assemblée nationale, le Nouveau Front Populaire (NFP), à cette nomination sont incendiaires.

Un futur gouvernement censuré par le PS

A peine la nouvelle tombée, Jean-Luc Mélenchon s’est empressé de publier une vidéo pour faire entendre sa colère. Rappelant la victoire du NFP aux élections législatives, le chef de file de La France insoumise (LFI) a dénoncé la nomination de ce Premier ministre de droite : « l’élection a été volée » et le « message a été nié ». Mathilde Panot, s’indignant elle aussi du « refus de respecter la souveraineté populaire », a à nouveau appelé à signer une pétition visant à destituer le chef de l’Etat.

Lire aussiMichel Barnier nommé Premier ministre : les raisons derrière le choix d’Emmanuel Macron

Une lourdeur dans le ton partagée par Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français (PCF), pour qui cette nomination représente « un bras d’honneur aux Français »[...]

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