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Eau. L’Euphrate, l’autre arme de la Turquie contre les Kurdes en Syrie

L’administration kurde qui gère le nord-est de la Syrie accuse la Turquie de couper l’eau de l’Euphrate pour l’affaiblir. Un moyen de pression déjà utilisé par Ankara auparavant.

“Le gouvernement turc a baissé le niveau de l’Euphrate dans le but de faire pression sur l’administration semi-autonome kurde dans le nord-est de la Syrie”, a dénoncé le directeur des barrages de l’Euphrate en Syrie, Ahmad Ossou, relayé par le site panarabe Raseef22.

Le mardi 2 mars, l’administration kurde a indiqué que, depuis la fin janvier, la Turquie avait divisé par quatre les quantités d’eau provenant de l’Euphrate. Ce rationnement a un effet sur l’approvisionnement en eau et la production d’électricité.

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En amont

Plus long fleuve de l’Ouest asiatique, l’Euphrate, qui naît en Turquie et traverse la Syrie et l’Irak avant de se jeter dans le golfe Persique, a toujours été un sujet de friction entre ces trois pays, notamment en raison de la question kurde. Idem pour l’autre grand fleuve de la zone, le Tigre.

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La Turquie, qui a construit des barrages sur l’Euphrate et le Tigre, contrôle ainsi le niveau de l’eau arrivant en Syrie et en Irak.”

En 2020, indique Raseef22, la Turquie avait déjà réduit le niveau de l’Euphrate arrivant en Syrie, poussant l’administration semi-autonome kurde à demander à l’Organisation des Nations unies de faire pression sur Ankara.

Le site panarabe rappelle que la Turquie avait déjà utilisé la carte de l’eau à la fin des années 1990

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