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Les données personnelles sources d'inquiétude, après l'abolition du droit à l'avortement aux Etats-Unis

La recherche d'un planning familial sur Google, une discussion avec une amie enceinte sur Facebook ou des données sur une application de suivi du cycle menstruel: autant de traces numériques qui pourraient être retenues contre des femmes, et leurs potentiels "complices", en cas d'avortement dans certains Etats américains. "La différence entre aujourd'hui et la dernière fois que l'avortement était illégal aux Etats-Unis, c'est que nous vivons dans une ère de surveillance en ligne sans précédent", a réagi sur Twitter ce dimanche 26 juin Eva Galperin, directrice de la cybersécurité de l'ONG Electronic Frontier Foundation (EFF). Comme cette dernière, des associations de défense des droits humains et des élus démocrates ont appelé les grandes plateformes technologiques à mieux protéger les données personnelles.

"Si les entreprises de la tech ne veulent pas que leurs données se transforment en souricière (...), elles doivent cesser de récolter ces données maintenant. Il ne faut pas les vendre et il ne faut pas les avoir quand les mandats de justice arriveront", a-t-elle martelé. Google et Meta (Facebook, Instagram, Messenger) suivent à la trace leurs utilisateurs pour pouvoir vendre aux annonceurs des espaces publicitaires ultra ciblés et personnalisés. Les informations récoltées sont anonymisées, mais restent accessibles pour les autorités munies d'un mandat. Or, après la décision de la Cour suprême, de nombreux Etats conservateurs ont déjà prévu de bannir les interruptions volontaires (...)

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