Publicité
Marchés français ouverture 7 h 56 min
  • Dow Jones

    38 503,69
    +263,71 (+0,69 %)
     
  • Nasdaq

    15 696,64
    +245,33 (+1,59 %)
     
  • Nikkei 225

    37 552,16
    +113,55 (+0,30 %)
     
  • EUR/USD

    1,0705
    +0,0001 (+0,01 %)
     
  • HANG SENG

    16 828,93
    +317,24 (+1,92 %)
     
  • Bitcoin EUR

    61 965,14
    -629,23 (-1,01 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 429,90
    +15,14 (+1,07 %)
     
  • S&P 500

    5 070,55
    +59,95 (+1,20 %)
     

Deux hackers s’amusent à pirater des sonnettes connectées et faire peur aux familles

Le changement climatique entraîne une perte de masse des glaciers. Les anomalies de chaleur génèrent une fonte précoce, mais il y a aussi des réactions en chaîne : l’effet albédo permet à la lumière (donc à la chaleur) de rebondir sur la neige et la glace (blanches). Cependant, moins il y a de surface de ce type, moins cet effet essentiel s’applique. S’ajoute la hausse de température des eaux. Le réchauffement génère alors des phénomènes comme les vêlages de glaciers, qui s’effondrent dans l’eau.

Le problème de la fonte des glaces est attesté, bien documenté et longuement évoqué dans le 6e rapport du GIEC. De même, on sait avec certitude que cela a un effet direct sur la montée des eaux (qui concerne le monde entier). Mais, l’étude qui s’apprête à paraître, le 6 janvier 2023, et à laquelle une équipe française du CNRS a participé, accroît largement le niveau de risque dans ses projections.

La perte de masse des glaciers serait 14 % à 23 % supérieure à la plupart des prévisions déjà produites, dont celles intégrées au rapport du GIEC. Ces nouveaux calculs reposent sur un nouveau modèle mathématique, nourri par des observations sur la perte de masse exacte de chaque glacier connu entre 2000 et 2019.

En clair, ces projections sont basées sur la perte récente de masse de chacun des quelque 200 000 glaciers répertoriés sur Terre.

[Lire la suite]