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Dette : taux, Bourse… en cas de dégradation de la note de la France, faut-il craindre un scénario noir ?

Pavlo Gonchar/SOPA Images/LightRocket via Getty Images

Couperet en vue pour la note de la dette de la France ? Après l’abaissement, fin avril, de cette note par l'agence de notation Fitch, la décision de l’agence Standard & Poor’s (S&P) est attendue au tournant ce vendredi 2 juin. Et ce, même si les précédents abaissements de la note de notre dette publique ont eu jusqu’ici “relativement peu d’impact sur les taux d’intérêt de nos obligations d’Etat à long terme”, fait valoir Stéphane Deo, gérant de portefeuille chez Eleva Capital, qui a réalisé une étude sur les répercussions des dégradations des notes des agences Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch en 2012, 2013, 2014, 2015 et cette année. A chaque fois, l’écart entre les taux d’intérêt à long terme de la France et ceux de l’Allemagne (la référence européenne) n’a pas varié ou seulement dans une faible mesure.

Cela sera-t-il différent cette semaine, en cas d’abaissement de la note de la France par Standard & Poor’s ? Stéphane Deo en doute, car si une dégradation de notre note serait certes une “mauvaise nouvelle” (puisque la France serait dans ce cas de figure amenée à emprunter — un peu — plus cher sur les marchés), elle ne constituerait “pas pour autant une véritable surprise”. Le mauvais état de nos finances publiques est en effet déjà connu et donc a priori déjà intégré dans les cours. En cas de dégradation de la note de la France, Stéphane Deo doute ainsi qu’il y ait un impact sensible sur les taux d’intérêt de l’Hexagone et le CAC 40. “Des réformes structurelles (retraites, (...)

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