David Hallyday renonce à l’héritage de Johnny : pourquoi et comment refuser une succession
Une dette fiscale monumentale de 33 millions d’euros et une bien mauvaise surprise pour les héritiers du clan Hallyday. C’est, selon Jacques Verrecchia, l'avocat de Johnny pendant plus de 20 ans, la raison qui a poussé David Hallyday à ne pas accepter la succession de son père. Et ce cas de figure peut tout à fait vous arriver. Sans évoquer de tels chiffres, il n’est pas rare de vivre une telle déconvenue au moment d’une succession. Aussi, vous devez impérativement profiter du délai de quatre mois qui vous est imparti pour faire le bon choix.
Une précision, d’importance, pour débuter : «Vous n’êtes jamais obligé d’accepter une succession. Et ce, même si vous avez accepté une donation du défunt par le passé», rappelle Nathalie Couzigou-Suhas, notaire à Paris. Ainsi, si la succession est manifestement déficitaire, c’est-à-dire que le passif excède l’actif successoral, ou que vous n’aviez plus de contact avec le défunt et ne souhaitez pas recevoir quoi que ce soit de sa part, vous avez tout à fait la possibilité de “passer votre tour”. Vous n’encourez alors aucun risque de mauvaise surprise, en cas de passif qui dépasserait l’actif et mettrait en péril vos finances.
Autre motif : si votre situation vous le permet et que vous souhaitez avantager vos enfants - si la succession n’est pas déficitaire évidemment -, vous pouvez renoncer à la succession à leur profit, une faculté qui vous est offerte depuis 2006. «En faisant cela, vous permettez un gain de génération et vos enfants conservent (...)
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