Publicité
Marchés français ouverture 36 min
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • Nikkei 225

    37 628,48
    -831,60 (-2,16 %)
     
  • EUR/USD

    1,0722
    +0,0021 (+0,19 %)
     
  • HANG SENG

    17 211,04
    +9,77 (+0,06 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 986,13
    -2 138,92 (-3,44 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 390,01
    +7,44 (+0,54 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     

Déclarations "péremptoires", "maladresse"... Gérard Collomb juge le début de mandat de ses successeurs

Gérard Collomb commente les trois mois de Grégory Doucet et Bruno Bernard à la tête de l'agglomération lyonnaise. - PHILIPPE DESMAZES / AFP
Gérard Collomb commente les trois mois de Grégory Doucet et Bruno Bernard à la tête de l'agglomération lyonnaise. - PHILIPPE DESMAZES / AFP

Trois mois après avoir perdu son fauteuil de maire de Lyon, Gérard Collomb prend ses marques dans son costume d'opposant. Dans une interview au journal Le Parisien, l'ancien ministre de l'Intérieur revient sur les premiers pas de ses deux successeurs: Grégory Doucet à la mairie et Bruno Bernard à la Métropole.

Si Gérard Collomb se garde "d'avoir un jugement définitif", concédant qu'en trois mois, ils n'ont "pas encore eu le temps de marquer (leur) empreinte", il note une différence de "style" entre Bruno Bernard qu'il juge plutôt "prudent" et Grégory Doucet à qui il reproche des "déclarations péremptoires".

"Cela a commencé par sa position contre le TGV Lyon-Turin, ensuite pour le 14-Juillet, son refus d'accueillir la patrouille de France dans le ciel lyonnais. Et, plus récemment, ses commentaires sur le Tour de France… Tout ceci forme un ensemble qui tranche avec l'idée qu'on se fait de la vie politique à Lyon", déclare l'ancien maire au Parisien.

De la "maladresse"

Selon lui, ces déclarations tiennent "sans doute de la maladresse". Néanmoins, Gérard Collomb appelle à "éviter les choix trop idéologique. "Ça m'embêterait qu'on gâche ce qui a été fait au cours des quinze dernières années", affirme-t-il.

PUBLICITÉ

L'ancien homme fort de l'agglomération lyonnaise estime par ailleurs que la priorité de Grégory Doucet et Bruno Bernard devrait être de tout faire pour "empêcher que l'activité économique ne s'effondre dans une agglomération comme la nôtre, première région industrielle de France".

Article original publié sur BFMTV.com