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La défense de Carlos Ghosn ne passe pas auprès de Renault, une belle prime pour quitter son poste ... Le flash éco du jour

On commence par l'avertissement du commissaire au Marché intérieur aux Gafam. Alors que le Digital Services Act (DSA) a été adopté samedi 23 avril, dotant l'Union européenne d'un outil de régulation numérique, Thierry Breton somme toutes les plateformes de se "soumettre à des obligations graduées, en fonction de leur importance". Dans le Journal du dimanche, Thierry Breton rappelle que "les plus puissantes d’entre elles" sont concernées, y compris celles qui "comptent plus de 45 millions d’utilisateurs". En cas de non-respect de ces règles, les sanctions pourraient atteindre 6% du chiffre d'affaires mondial et "aller jusqu'à l’interdiction d’opérer sur le territoire européen", souligne Thierry Breton. "Les plateformes devront s’adapter à nos règles et non l’inverse. Ces obligations seront identiques partout", termine-t-il.

Le coup de gueule du jour est poussé par la défense de Renault. Après le mandat d'arrêt international qui vise Carlos Ghosn, ce dernier a tenu à se défendre. Fustigeant des "violations répétées et perturbantes du secret de l’instruction", l'ancien patron du groupe Renault-Nissan-Mitsubishi, nie en bloc les paiements suspects qu'on lui reproche entre RNBV et le distributeur du constructeur automobile français à Oman, Suhail Bahwan Automobiles (SBA) : "Je conteste tout détournement. Cette somme correspond à des contrats commerciaux en bonne et due forme passés avec le concessionnaire." Interrogé par le Journal du dimanche, l'avocat de Renault, Kami Haeri, estime (...)

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