Cryptomonnaies : quelles sont les blockchains les plus écologiques
Le bitcoin, première cryptomonnaie lancée dès 2009, a souvent eu mauvaise presse. Et notamment en raison de la très grande quantité d’énergie nécessaire à la validation des transactions sur sa blockchain, la technologie sur laquelle sont effectuées et sécurisées toutes les opérations. Une étude de l’université de Cambridge pointe la forte consommation d’électricité induite par la blockchain Bitcoin, qu’elle estime à environ 128 térawatts-heure (TWh) par an au 10 juin 2022, soit légèrement moins que la quantité d’électricité nécessaire à l’extraction d’or dans le monde et plus que la consommation annuelle d’un pays comme la Pologne.
En outre, Bitcoin tend à accroître ses besoins en énergie au fil du temps. La blockchain repose de fait sur un mécanisme réputé inviolable pour valider les transactions en cryptomonnaies, mais aussi très gourmand en électricité. Il s’agit du processus de minage fonctionnant avec la preuve de travail (“proof of work” en anglais) : des machines - notamment des Asics composés de puces électroniques programmées pour miner du bitcoin - tournent à plein régime pour tenter de résoudre une équation mathématique très complexe.
La machine qui trouve en premier la solution obtient le droit de sécuriser la transaction, ce qui entraîne la création d’un nouveau bloc sur la blockchain et confère en échange une récompense en (...)
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