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Crise énergétique et guerre en Ukraine : les secteurs industriels français menacés

© (Antonio Calanni/AP/SIPA)

La liste des industriels contraints de stopper ou limiter la production s'allonge : les verriers Duralex et Arc, le sidérurgiste Ascometal, le fondeur Aluminium Dunkerque, le fabricant d'engrais Borealis... Tous sont touchés par la flambée de la facture énergétique depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. Selon Les Echos , plusieurs dizaines de milliers d'industriels seraient en souffrance, mais seulement 300 d'entre eux ont sollicité à cette heure le « fonds Ukraine », un dispositif de soutien déployé par l'exécutif pour les structures de plus de 10 salariés, selon les chiffres donnés sur Sud Radio par le ministre chargé de l’industrie, Roland Lescure.

Un chiffre qui tranche nettement avec les remontées des différentes fédérations qui pointent un risque bien plus généralisé dans le tissu industriel. Outre que les industriels pointent un « fonds Ukraine » mal calibré, ils réclament aussi autre chose que cette mesure qui ne règle pas le problème de leur facture énergétique. La Fédération nationale des industries laitières a, par exemple, rapporté récemment une hausse de 20 % de ses coûts de transformation, et demandé la mise en place d’un bouclier énergétique.

Dans la liste des solutions préconisées pour 2023 figure, comme en 2022, la hausse des quotas d'électricité nucléaire vendue à prix régulé (Arenh) ou encore le plafonnement du prix du gaz utilisé pour produire de l'électricité. Des solutions qui ne semblent pas accessibles à court terme et qui nécessitent la rep...


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